Comme vous allez le constater si vous jetez un coup d’œil à cette présentation, je n’ai pu m’empêcher de parler de Laborit pour évoquer les balbutiements des neurosciences vers le milieu du XXe siècle. La longue histoire de la découverte du premier neuroleptique, la chlorpromazine, par Laborit et ses collègues au tout début des années 1950 marquait en effet un tournant dans le rapport qu’entretenaient les psychiatres avec les troubles de l’esprit. Une simple molécule pouvait donc affecter l’esprit au point de rendre de grands psychotiques agités tout à fait calmes et détendus.
Cette révolution dans les mentalités dont Laborit a été l’un des artisans, je l’ai retrouvée racontée à deux endroits en faisant mes recherches là-dessus sur Internet.
Article en ligne : http://www.elogedelasuite.net/?p=3232